Parution de mon 1er livre : Communication et Management Stratégique

J’ai le plaisir de vous annoncer la parution de mon livre

Communication et Management Stratégique

Communication et
 Management Stratégique

Milie Théodora Mière
Editions universitaires européennes
ISBN : 978-3-8417-8981-5

Présentation :

Communication et Management Stratégique est une étude et une réflexion sur la place de la communication dans un contexte de changement organisationnel. En se basant sur un exemple concret, l’auteur montre le rôle que la communication peut jouer dès lors qu’elle se met au service du management stratégique. Dans ce cadre, elle s’organise autour de la mise en acceptation du changement et de la construction de la nouvelle représentation de l’entreprise. Les dirigeants utilisent parfois un « discours de conviction dogmatique » pour expliquer le changement et le faire accepter aux salariés. L’analyse sur le terrain montre que les individus sont guidés par des logiques propres dans leur représentation de l’entreprise et se servent d’autres canaux pour se forger une opinion.

Pour toute commande, voici les coordonnées de l’éditeur.

ÉDITIONS UNIVERSITAIRES EUROPÉENNES

Adresse: Heinrich-Böcking-Str. 6-8, 66121, Sarrebruck
Téléphone : +49 (0) 681 37 20 271-1
Fax : +49 (0) 681 37 20 271-0
E-mail: c.leclerc@editions-ue.com
Site web : http://www.editions-ue.com

3 réflexions sur “Parution de mon 1er livre : Communication et Management Stratégique

  1. Bonjour Théodora,

    Je suis ravi de tout ce que vous dites sur ton site. Je vous ai rencontrée au mois de juillet lors d’une visite à l’université de l’EST-Littoral que dirige mon ami Delphin Loembe. J’ai apprécié le précieux concours scientifique et pédagogique que vous apportez à cet établissement, comme je suis admiratif de l’expérience de votre carrière à Versailles, une ville à qui me lie affectivement le fait qu’un de mes enfants habite non loin de loin … au Chesnay. Je voudrais dire que quand je pense à la masse considérable des talents, des compétences, des qualifications de Congolais expatriés, je songe à la décision que j’ai dû prendre en 1975, alors que j’enseignais dans un lycée français comme professeur certifié de lettres classiques, je songe à cette décision que j’ai dû prendre de rentrer dans mon pays, le Congo. Aujourd’hui, je viens de prendre ma retraite. Mais à l’époque, ma décision de rentrer dans mon pays où j’avais la certitude que le confort de la vie n’avait rien de commun à ce que je laissais en quittant la France, cette décision relevait de la conviction d’une forme de tendresse d’une profondeur inestimable que je ressentais vis-à-vis de mon Congo. Résider en France où j’avais eu mes trois premiers enfants et un emploi assuré, c’était bien. Mais affronter la précarité d’un retour au pays natal relevait d’une sorte d’inconscience masochiste, mais je savais également qu’en France, je serais un fonctionnaire certainement français bien intégré, un quidam dans l’enseignement comme les autres, mais revenir au pays relevait d’un impératif catégorique d’utilité patriotique. Rassurez-vous Théodora, il ne s’agit pas d’une bizarrerie qui m’était singulière. Affaire de génération, sans doute : de nombreux étudiants congolais titulaires de diplômes de l’université à qui on proposait des postes intéressants en France déclinaient l’offre et préféraient rentrer au pays. En France, on gagne sa vie, au Congo, on sert son pays. Je suis rentré au Congo avec un CAPES de lettres classiques et une maîtrise en lettres classiques. Aujourd’hui, je quitte l’université avec le grade de Professeur des universités, après une thèse de 3e cycle soutenue à la Sorbonne avec la mention très bien avec les félicitations du jury et une autorisation de publication et une HDR soutenue à Nice Sophia-Antipolis. Je suis heureux que l’appel de Poto-Poto, Tié-tié, Bacongo, Mvoumvou, du pondou et du ngoki
    commence à tarauder la conscience de certains de nos enfants de la diaspora. Il faut avouer qu’il y a un plaisir à vivre au Congo qui, à certains moments, est difficilement monnayable. Les étrangers le savent bien. Promenez-vous dans Poto-Poto, vous verrez que même les aveugles ou les éclopés ouest-africains savent où se trouvent la rue Mbakas, la rue Banziris, la rue Haoussas, la rue Kassai (tiens des ethnonymes ou des des toponymes étrangers comme par hasard !!!).
    J’espère que vous n’avez pas lu tout mon laïus. Sinon, toutes mes excuses pour vous avoir perdu tout votre temps.
    Cordialement,
    Professeur André-Patient Bokiba

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  2. Bravo Théodora pour cette première publication !
    Collègues de travail mais aussi soeurs de destin, fais un tour sur mon blog qui aborde la thématique de l’enseignement de la gestion à l’ère du numérique !
    Cela rejoint par certains côtés tes problématiques !
    Continue ainsi !

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